Mon apprentissage au service d'un couple dominateur

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il y a 6 ans

1 Première Rencontre :

Après avoir répondu à de nombreuses annonces de couples dominateurs dans les revues spécialisées, j’ai enfin eu le bonheur d’obtenir la réponse positive d’un couple de Maîtres expérimentés; Celui-ci m’enjoignait de lui fournir un numéro de téléphone pour un premier contact préalable à une rencontre, prévue un vendredi soir de juin…

Lors de ce premier contact téléphonique, l’avant-veille au soir, Maître Bernard m’avait fixé les conditions de cette première entrevue; Je devais me présenter chez mes Maîtres, dont la propriété est très isolée dans la campagne, à 21H00 précises, en ayant prévu d’apporter mon collier de chien ainsi que mon cock-ring, car ce serait ma seule tenue pour cette soirée dont je ne savais rien d’autre, sinon que si je ne faisais pas mes preuves je serais congédié le soir même,

et qu’à l’inverse je devais prévoir de passer le week-end entier à leur service si mon pedigree leur convenait. Maître Bernard m’a seulement dit qu’ils entendaient dans un premier temps tester ma motivation…

A l’heure dite je me suis présenté au portail de la propriété, et Maître Bernard m’a accueilli dans le jardin avant de me mener jusqu’à un garage attenant à la maison ; Avant de m’y laisser seul, le Maître m’a indiqué qu’il entendait m’y retrouver cinq minutes plus tard, nu et à quatre pattes avec mon collier et mon cock-ring, afin de pouvoir ensuite me présenter en laisse à Maîtresse

Jacqueline qui nous attendait dans le salon…

En moins de cinq minutes, j’étais « prêt à l’emploi », mais mon Maître m’a fait attendre un bon quart d’heure avant de venir me chercher, durant lequel j’ai eu tout le temps d’apprécier ma nouvelle condition d’esclave chien ; J’étais à disposition en attente fébrile et impatiente. Enfin, j’eus le plaisir d’être présenté nu en laisse par le Maître à la Maîtresse, à quatre pattes et le visage baissé ; j’ai du m’exhiber sous toutes mes coutures, encouragé par la cravache du Maître qui cinglait sur mes fesses, au cour de plusieurs tours effectués autour de la table basse comme un cheval au manège. Puis j’ai du me prosterner aux cuissardes de la Maîtresse, avant de les honorer de ma langue et de me retrouver enfin allongé dos au sol avec le talon dans la bouche et la pointe sur le front.

Ensuite ce fut au tour de ma Maîtresse de me prendre en mains ; après m’avoir bandé les yeux, elle commença une petite séance de dressage en laisse, durant laquelle elle me fit évoluer en m’enseignant les différentes attitudes que je devais adopter, à l’aide d’un martinet. Je devais marcher à quatre pattes, le derrière bien présenté, le dos le plus cambré possible et pour ce faire elle s’amusait à me creuser les reins avec son talon ; j’ai également du apprendre à « faire le beau », tout en ne regardant jamais autre chose que le sol, les yeux baissés. Enfin elle me mena aux pieds du Maître, qui assis dans un fauteuil, contemplait l’ensemble, et j’ai du lui sucer le sexe et les testicules pendant que Maîtresse m’y encourageait de tout son cœur à grands coups de martinet, jusqu’à ce qu’il jouisse sur mon visage.

Ce premier examen passé, il m’a été accordé de découvrir la salle totalement aménagée en donjon, situé au-dessus du garage dans lequel j’avais du initialement me préparer. Emmené en laisse, je fus ensuite enfermé dans une partie de la pièce faisant cage avec une chaîne fixée au mur et cadenassée à mon collier ; mes Maîtres m’ont alors annoncé que je passerai la nuit ainsi et que mon dressage se poursuivrait le lendemain. J’ai du dormir nu à même le sol sans couverture ; Heureusement, la pièce était bien chauffée et j’ai tout de même réussi à trouver quelque repos avant de devoir subir à nouveau la domination de mes Maîtres.

Le lendemain matin, je fus réveillé tôt par ma Maîtresse qui entendait me promener nu en laisse dans la fraîcheur de son jardin, qui présente l’avantage d’être clos de murs et à l’abri de tout regard indiscret. J’eus alors le plaisir d’une nouvelle séance de maintien menée à la cravache et photographiée par mon Maître, sur laquelle ma Maîtresse insista fortement, m’informant par la même occasion qu’elle souhaitait m’exhiber ainsi à ses amis dans un futur proche ; inutile de dire que je m’en régalais d’avance… J’eus ensuite le droit de manger une bouillie de céréales ainsi que boire de l’eau, servis dans des gamelles à même le sol, avant d’être ensuite travesti en soubrette avec les fesses à l’air, et devoir assurer les diverses tâches domestiques. J’ai notamment du laver le sol de la cuisine à quatre pattes les fesses en l’air, avec Monsieur et Madame s’amusant à me flageller avec cravache et martinet tant qu’ils estimaient ne pas avoir obtenu un résultat satisfaisant…

Je fus enfin congédié vers quinze heures par mes Maîtres, convaincus de ma motivation, qui m’ordonnaient de me représenter le vendredi suivant à la même heure, pour cette fois un week-end complet à leur service, au cour duquel ils testeraient cette fois mon endurance…

2 Deuxième Soirée :

Comme la semaine précédente, j’avais été convoqué à la propriété de mes Maîtres le vendredi soir à 21H00, et, accueilli par Maître Bernard qui m’a mené directement au garage, j’ai dû me préparer pour le même cérémonial que lors de ma première prise en mains. C’est donc nu, muni de mon collier de chien et de mon cock-ring qu’à quatre pattes, j’ai du cette fois patienter une bonne demi-heure dans cette si délicieuse attente fébrile, avant que mon Maître daigne, pour mon plus grand plaisir, venir me chercher et m’emmener en laisse au salon.

Là nous attendait Maîtresse Jacqueline, dans une superbe tenue de cuir noir, assise dans un fauteuil les jambes croisées sur de très belles cuissardes aux talons vertigineux, qui sublimait ses magnifiques jambes. Après quelques tours de la table basse effectués tenu en laisse par mon Maître, elle m’ordonna, de me prosterner à ses pieds pour embrasser et lécher ses cuissardes en signe de ma totale vénération, tout en m’y encourageant vivement sur les fesses et le dos de la claquette longue, qu’elle manie à merveille…

« Ce soir, comme nous te l’avions dit samedi dernier au moment de te congédier, nous avons la ferme intention de tester ton endurance ; pour ce faire ,nous allons t’emmener dans la salle spécialement aménagée à cet effet et passer aux choses sérieuses… ».

Ma Maîtresse me tenant en laisse, j’ai du grimper l’escalier à quatre pattes derrière elle pendant que Maître Bernard me flagellait la croupe pour accélérer le mouvement.

Aussitôt à l’étage, Maîtresse Jacqueline m’a passé une cagoule m’empêchant de voir, et j’ai été précipité à genoux le front au sol, avant d’être rapidement attaché très solidement dans un carcan qui m’enserrait à la fois chevilles et poignets, les bras tendus au sol entre les cuisses.

Maître Bernard,, pour parachever l’ouvrage, me lia les testicules à l’aide d’une cordelette, dont il garda l’extrémité en main, pendant que Maîtresse Jacqueline choisissait les instruments dont elle allait user sur mes fesses et mon dos. Elle me dit : « Tu me diras lequel de ces martinets tu préfères, lorsque je t’aurai administré vingt coups de chacun d’eux ; ensuite, tu endureras également chacune de mes claquettes et de mes cravaches et feras de même ; Enfin, je te ferai goûter mes fouets, si toutefois tu n’as pas demandé grâce auparavant, ce dont tu as le droit, mais… Ce serait tellement regrettable ! N’oublie pas de compter mentalement pour me remercier après chaque série ; si tu te trompes, tu recevras dix coups de plus à chaque fois ! Et je ne veux pas t’entendre gémir ou crier. Tu dois souffrir en silence, sinon je te bâillonnerai !»

J’ai alors reçu quatre séries de vingt coups de martinets sur les fesses et le dos ; entre chaque coup, Maître Bernard tirait sur la cordelette, me procurant un très vif plaisir, et chaque série finie, j’ai remercié mes Maîtres avec empressement. Maîtresse Jacqueline : « Lequel de ces martinets préfères tu, esclave ? » « Je les aime tous, Maîtresse. » « Tant mieux, voyons maintenant comment tu endures mes claquettes ; N’oublie pas de compter, pour me remercier au moment opportun, faute de quoi, tu sais ce qui t’attend… »

La Maîtresse frappait de plus en plus fort, et le Maître s’amusait beaucoup à me surprendre entre les coups en tirant la cordelette liée à mes testicules… Trois séries de vingt coups plus tard, Maîtresse Jacqueline me posa la même question : « Laquelle de ces claquettes préfères tu, esclave ? » « Je les aime toutes, Maîtresse. » « Très bien, tu es endurant, mais voyons maintenant comment tu prends la cravache lorsqu’elle est maniée avec fermeté… N’oublie pas, compte… »

Trois cravaches différentes avec lesquelles Maîtresse Jacqueline frappe avec encore plus de conviction : « Merci Maîtresse. » « Alors, chien, laquelle de mes cravaches préfères tu ? » « Je les aime toutes, Maîtresse. » « Très bien, tu es un esclave endurant et c’est tout à fait ce que nous recherchons ; nous en avons assez de ces soi-disant esclaves qui demandent grâce au bout de quelques dizaines de coups. Maintenant, si tu veux goûter à mes fouets, tu vas devoir me le demander de façon très convaincante… Allons, je t’écoute. » Maître Bernard : « Oui, c’est ça, demande le fouet, salope … »

Je n’avais jamais été fouetté pour de bon et le souhaitait depuis longtemps : « S’il vous plaît, Maîtresse, donnez moi le fouet, je suis votre esclave et mon corps vous appartient totalement ; faites moi souffrir pour votre plaisir , et ne craignez pas de me laisser des marques, je serai fier de les porter… » Mes Maîtres se sont alors fait un plaisir de me fouetter vivement les fesses, les cuisses et le dos, alors que Maître Bernard avait préalablement lié et fixé la cordelette au mur dans un anneau,de façon à ce que mes testicules soient bien tirées et ressortent tant et si bien que le fouet les atteignait à presque chaque coup…

Je n’ai pu m’empêcher de hurler de douleur, et j’ai demandé grâce au bout de six coups, au moment ou Maîtresse Jacqueline commençait à me bâillonner pour pouvoir terminer tranquillement la série de vingt coups qu’elle entendait m’infliger. J’ai remercié mes Maîtres, mais j’étais au bord de l’évanouissement, tant douleur et plaisir se mêlaient ; l’émotion était si forte… Maîtresse Jacqueline : « Alors, esclave, tu supportes moins bien le fouet, on dirait… Fais moi confiance, quand je t’aurais bien dressé, tu le prendras sans broncher et je suis sûre que tu adoreras ça, petit chien… Mais ne crois pas que tu vas t’en tirer à si bon compte, car nous n’en avons pas encore fini avec toi… »

J’ai ensuite été détaché et ai pu me relever, mais pour avoir aussitôt les poignets liés en l’air au plafond ainsi que les jambes écartées avec les chevilles prises dans une barre d’écartement. Maîtresse Jacqueline me mit des poids aux testicules et aux seins, pendant que Maître Bernard commençait à me mettre d’abord un doigt puis deux et me travailler l’anus, comme pour le préparer…

En effet, après dix minutes de ce traitement, j’ai été détaché et installé à plat ventre sur le chevalet, pour y être sodomisé, d’abord par ma Maîtresse avec un god-ceinture pendant que je suçais le sexe de mon Maître, puis par celui-ci qui non seulement m’a sodomisé longuement et bien à fond en me claquant fort les fesses, mais a joui dans mon anus, ce qui m’a procuré un énorme plaisir, avant d’avoir celui de sucer à nouveau son sexe sortant de mon fondement ; j’avais délicieusement honte mais sa verge était si bonne…

Maîtresse Jacqueline : « Ca ira comme ça pour ce soir, je vais te montrer la chambre de bonne qui t’es réservée. Demain soir, nous recevons un couple d’amis, et tu nous feras le service travesti en soubrette, entre autres choses… je t’expliquerai tout cela plus en détail. Repose toi bien, car il faut que tu sois en forme demain. Soit prêt à 9H00 pour la petite promenade à poil en laisse dans le jardin. Tes journées chez nous commenceront toujours de cette façon, alors sois ponctuel, ou je devrais sévir… »

« A vos ordres, Maîtresse. Bonsoir Maîtresse. Bonsoir Maître. »

Maître Bernard :« A demain, on verra ce que tu vaux en soubrette bonne à tout faire… »

3 Première Journée :

Le lendemain matin, à l’heure dite, j’étais prêt, avec pour seuls attributs mon collier de chien et mon cock-ring, et j’attendais dans ma chambre fébrilement lorsque Maîtresse Jacqueline y fit son entrée, la cravache à la main : « Bonjour, petit chien, mets toi vite à quatre pattes, que je puisse te prendre en laisse ; tu devras toujours m’attendre le matin dans cette position… Oh, mais tes fesses et ton dos sont bien marqués de nos jeux d’hier soir, et j’aime beaucoup cela ! » Quelques instants plus tard, elle me fit sortir dans le jardin ensoleillé, où j’ai du marcher à quatre pattes, le derrière bien présenté, le dos le plus cambré possible et pour ce faire elle m’encourageait vigoureusement de sa cravache sur le dos et les fesses, tout en m’informant du programme de ma journée de service : « Après la promenade, tu prendras, comme samedi dernier, ton petit déjeuner dans la gamelle, après quoi tu iras te travestir en soubrette et je te donnerai les ordres pour le ménage, car il faut que la maison soit bien propre pour notre petite réception de ce soir. Cet après-midi, je te ferai une bonne séance de maintien et t’enseignerai tous les comportements et attitudes féminines, afin que tu sois la plus jolie et élégante soubrette qu’il soit possible d’avoir à notre service. Je t’apprendrai également à t’exhiber autour et sur un tabouret de bar avec de la musique, car j’ai bien l’intention de te faire danser pour nous ce soir, pendant que nous prendrons l’apéritif… Et surtout, n’oublie pas, aujourd’hui et à chaque fois que tu seras travesti en soubrette, tu devras nous appeler, ainsi que nos invités, Madame et Monsieur. » Après avoir passé la tenue indiquée, j'ai passé la matinée occupé à diverses tâches ménagères pendant que Monsieur et Madame étaient sortis pour quelques courses; Puis, Madame me fit manger pour midi à la cuisine, avant que j’aie à servir mes Maîtres à table pour leur repas, durant lequel il ne se sont pas privés de me claquer vigoureusement les fesses pour ponctuer leurs divers ordres ; Madame m’infligea même au moment de desservir, dix coups de cravache sur les fesses pour avoir omis de répondre à l’un de ses ordres par la formule prévue « Bien Madame ».

Le début de l’après-midi fut occupé,sous les ordres de Madame, à laver tous les sols dallés de la maison à quatre pattes sous la menace de la claquette longue, avant d’arriver à la fameuse séance de maintien, lors de laquelle Maîtresse Jacqueline m’a dressé à la cravache à marcher en ondulant des hanches et en roulant de l’arrière train, ainsi qu’à parler très doucement en minaudant pour être le plus féminin possible ; relativement satisfaite des résultats, elle me fit ensuite préparer mon show exhibitionniste en laisse autour d’un tabouret haut, lors duquel j’ai du, sur la chanson de Joe Cocker « Can You Leave Your Hat On » du fameux film américain « Neuf semaines et demi » avec Mickey Rourke et Kim Bassinger, danser et me trémousser le plus sensuellement possible, en exhibant mes jambes, mes fesses et mon anus dans des poses obscènes, avant de terminer installé à califourchon sur le tabouret en présentant ma croupe à la cravache, le dos bien cambré et les reins très creusés.

La « répétition » dura une bonne heure, et mes fesses étaient écarlates lorsque ma Maîtresse jugea enfin correcte ma prestation ; Elle me fit ensuite ses ultimes recommandations pour mon service du soir : « Tu mettras ton cock-ring sous ton tablier et enfileras un petit pic-anus entre tes fesses, et n’oublie pas de remettre ton collier de chien ; tu dois toujours le porter dans cette maison, quelle que soit ta tenue… Ce soir, tu devras, pendant notre repas, demeurer en cuisine, et répondre à ma clochette prestement pour venir prendre tes ordres au séjour ; Ta diligence sera à l’appréciation de ma cravache, et surtout sois une soubrette discrète et obéissante, ne répondant que par « Oui, Madame » ou « Oui Monsieur », avant de t’exécuter avec la meilleure volonté, quelle que soit l’ordre reçu. De toutes façons, si tu ne nous satisfaits pas ce soir, sache que nous règlerons nos comptes demain matin, dans le jardin en présence de nos invités… » Enfin, Maîtresse Jacqueline me fit l’honneur de sa salle de bains, où mon visage a été maquillé outrageusement par ses soins, comme j’ai eu le bonheur de découvrir dans le miroir après qu’elle eu terminé ; J’étais fin prête pour mon service.

19h00 : A l’heure dite, les invités de Monsieur et Madame se présentent à la propriété et je suis chargée d’aller les accueillir au portail : « Bonsoir, je suis Francine, la nouvelle soubrette, si Monsieur et Madame veulent bien me suivre, je vais les conduire au vestibule, pour les débarrasser » Mon humiliation et mon plaisir sont énormes, d’autant plus qu’ils se livrent d’entrée de jeu à des commentaires sur ma croupe et ma cambrure qui semblent fort à leur goût… Après les avoir débarrassé, je les conduis au salon où mes Maîtres les attendent. Aussitôt, je me retire en cuisine.

Quelques instants plus tard, la clochette m’appelle pour la première fois : « Francine, sers nous les apéritifs et mets en route la chaîne Hi-fi, tu vas danser pour nous. » « Bien, Madame » Tenue en laisse par ma Maîtresse, je me donne en spectacle avec les encouragements de sa cravache comme une vulgaire strip-teaseuse pendant toute la durée de la chanson prévue, avant de me mettre dans la position finale sur le tabouret ; Maîtresse Jacqueline : « Chacun de nous va te donner pour ton exhibition une note sur vingt, et il ou elle viendra te donner autant de coups de cravache sur les fesses ; A toi l’honneur, Monique… » Evidemment, chacun d’eux m’a donné une très bonne note et aucune n’était sous quinze… « Merci Madame… Merci Monsieur… » Mon plaisir était indicible, mêlé de honte et d’humiliation, grandissantes avec l’intensité des coups ; Particulièrement lors de la dernière série, reçue de Jacques, l’invité qui faisait cingler la cravache sèchement et vivement.

Maîtresse Jacqueline : « Disposez, Francine, je vous sonnerai. » « Bien, Madame. » Lors de mon service à table, la claquette remplaça la cravache dans la main de ma Maîtresse, qui ne se priva pas d’en user pour ponctuer tous ses ordres ; Les invités s’amusaient énormément à me claquer et me pincer les fesses et à me remuer le pic-anus dans le fondement pendant que j’assurai mon service et je dois avouer que j’ai adoré ça. J’ai du, après avoir servi champagne et dessert, passer sous la table et m’occuper de tous les sexes avec ma bouche sous les ordres très crus de ces Dames et Messieurs. Après quoi, nous sommes passé dans la salle aménagée ou j’ai du subir bondages et corrections; j’ai reçu pour l’occasion cire de bougie ainsi que fessée aux orties, et je vous prie de croire que jamais mes fesses, mes cuisses et mon dos n’ont été aussi maltraités ; j’en ai d’ailleurs gardé les marques jusqu’au week-end suivant, pour le bonheur de mes Maîtres, qui en furent très réjouis…

La promenade du lendemain matin fut très humiliante dans le jardin devant Jacques et Monique, qui apprécièrent particulièrement et félicitèrent chaleureusement Maîtresse Jacqueline des résultats de mon dressage. Je fus congédié par mes Maîtres, satisfaits de ma prestation, en fin de matinée avec l’assurance d’un délicieux prochain week-end à leur service.

4 Cinquième Soirée :

Cette fois, Maîtresse Jacqueline et Maître Bernard, après avoir testé ma motivation et mon endurance, se sont employés à mesurer mes capacités d’adaptation et la confiance de leur esclave en ses Maîtres…

D’avance, j’avais reçu au téléphone de Maître Bernard mes instructions qui avaient, une fois de plus, dépassé mon imagination et tous mes fantasmes les plus fous ; Je devais, le vendredi soir suivant, me trouver à 21h00 en un lieu précis et isolé en forêt, travesti comme suit, de haut en bas : Perruque blonde platine, cock-ring et collier de chien avec laisse, faux seins, ainsi que soutien-gorge, string et bas auto fixant noirs avec hauts talons ; le tout caché sous un pardessus au-dessus des genoux, à la demande de mes Maîtres…

Je pris soin de garer ma voiture 200 m plus loin que l’endroit de mon rendez-vous, et après avoir achevé ma transformation, je gagnais par le sous-bois le parking forestier prévu, à l’abord duquel je me suis camouflé derrière un arbre. J’étais au moins 10 minutes en avance, sur la recommandation de mon Maître, qui entendait une fois de plus me faire attendre dans cette position humiliante…

C’est ainsi que j’ai du attendre une bonne demi-heure, avant qu’une voiture ne s’arrête enfin ; Après s’être immobilisée et deux ou trois longues minutes étant passées, trois appels de phares successifs me donnent le signal que j’attends fébrilement : C’est à ce moment que je dois me montrer et venir dans les phares m’exhiber, en tombant le pardessus comme une vulgaire prostituée, pour finir à quatre pattes en présentant mes fesses. A ce moment seulement, la Maîtresse daigne descendre de voiture et viens me prendre en mains…

Après quelques tours de la voiture à quatre pattes en laisse, le bruit lointain d’un véhicule approchant incite ma Maîtresse à abréger notre cérémonie; Elle m’ordonne de prendre place dans le coffre de la voiture, en m’indiquant que nous allons chez un couple d’amis de mes Maîtres possédant une jeune esclave très soumise, qui les ont invités pour une soirée débridée en compagnie d’un autre couple de convives.

C’est donc dans un état de grande excitation que je pris place dans ce coffre, et après un trajet d’une dizaine de minutes, nous étions enfin reçus dans une vaste propriété avec parc au bord d’une rivière ; Une jeune soubrette nous accueillit au seuil de la maison, ma Maîtresse me tenant debout en laisse dans ma tenue « allégée » et me menant ainsi au salon, dans lequel nous attendaient nos hôtes ainsi que leurs invités ; Je fus pour l’occasion présenté et exhibé à l’assistance par ma Maîtresse avec un pic anus dans le derrière, avant de m’entendre ordonner de me prosterner aux pieds de la Maîtresse de maison, à laquelle je devais faire allégeance. Ma Maîtresse me confiant à ses soins, je me retrouvais donc aux ordres de Maîtresse Sylvie pour la soirée…

Celle-ci me prit aussitôt en mains et, m’invitant à la suivre, ma nouvelle Maîtresse me présenta à ses gens de cuisine, leur indiquant que j’assurerai le service au salon pour l’apéritif ainsi qu’à table, me plaçant sous leur responsabilité pour ces tâches. Prenant dans la foulée mon service, je servais sur un plateau à ces Dames et Messieurs leurs apéritifs ; Ceux-ci ne me prêtaient aucune attention, la jeune soumise leur offrant pendant ce temps un superbe strip-tease très « chaud » ; celui-ci se termina à quatre pattes sur une table basse tenue en laisse par son Maître, la jeune esclave se godant elle-même l’anus à l’aide d’un god de bonne taille, sous les appréciations des convives...

Elle dut ensuite présenter ses fesses à la cravache de ceux d’entre eux qui le désiraient et je remarquais que les Dames se plaisaient beaucoup à ce jeu ; Elles semblaient particulièrement soucieuses de rougir le joli postérieur de la jeune femme, qu’elles n’hésitèrent pas à bâillonner à l’aide d’un bâillon-boule, la séance durant un bon quart d’heure, après lequel ses fesses étaient écarlates.

Pendant ce temps, Maître Bernard m’avait ordonné de me tenir debout à coté de son fauteuil, et m’invitant à lui présenter mon derrière, il s’amusait à me remuer le pic anus dans le fondement, ce qui me procura un très vif plaisir, mêlé de honte, d’humiliation, et de dévotion pour mon Maître…

La Maîtresse de maison ordonna ensuite à ses soubrettes d’aller prendre leur service à table, les convives n’allant pas tarder à passer dans la salle à manger. Ceux-ci ne se sont pas privés de claquer vigoureusement nos fesses, pendant que nous servions le repas et, bien avant le dessert et le champagne, la jeune soubrette et moi-même avons reçu l’ordre de passer sous la table, pour honorer les sexes de nos Maîtres; Nous avons ainsi chacun fait le tour sous la table, goûtant à tous ces sexes sans retenue, pendant que les convives faisaient à voix hautes divers commentaires et appréciations. Il fut enfin décidé et convenu que la bouche de la jeune esclave Sandrine était plus experte que la mienne, et Maîtresse Sylvie proposa ensuite à ces messieurs de nous sodomiser toutes les deux sur le canapé du salon, pour savoir qui de nous deux avait l’anus le plus accueillant…

Tout d’abord, nous devions leur servir les digestifs, avant de nous installer dans le canapé, fesses offertes, pour subir les assauts de nos trois Maîtres chacun à leur tour…

Je n’avais jamais eu auparavant l’occasion de subir plusieurs sodomies d’affilée et j’ai adoré cela, surtout lorsque le Maître de maison, très bien monté et passant, Dieu merci, en dernier, m’a pris bien à fond avec fougue, en me claquant très fort les fesses…

Mais, une fois de plus, la jeune esclave a recueilli les meilleurs suffrages, réussissant avec ses reins et son arrière-train une danse autour des sexes qui la sodomisaient dont je fus très jaloux…

Après ce concours, les Maîtresses reprirent leurs esclaves en mains, et l’assemblée se déplaça dans le garage de la maison, spécialement aménagé pour des jeux plus poussés…

Dans un premier temps, nous fumes avec la jeune soumise bondées debout en croix dos à dos, les yeux bandés, avec des barres d’écartement aux poignets et aux chevilles et des poids aux sexes et aux seins, alors que des mains expertes nous flagellaient les entrecuisses…

Puis Maîtresse Jacqueline proposa de nous désolidariser et de nous suspendre toutes les deux par les poignets au plafond, de larges et solides anneaux le permettant, afin de nous sodomiser avec de larges godemichés, tout en nous fouettant les fesses et le dos…

Enfin les gods firent place aux sexes de ces Messieurs, pendant que ces Dames nous martyrisaient sexes et seins, à l’aide de pinces et de poids, pour notre plus grand plaisir…

Par la suite, nous avons été détachés et il nous a été ordonné de nous installer tête-bêche en 69 sur une table basse, (j’eus le bonheur de me placer au-dessus) pour que ces Messieurs puissent nous sodomiser plus à leur aise pendant que nous nous dévorions le sexe sous les encouragements de ces Dames…

Enfin, Maîtresses Sylvie et Jacqueline reprirent chacune leur esclave à quatre pattes en laisse, et, les présentant ainsi une dernière fois à l’assemblée, mirent fin à la soirée…

Mes Maîtres me firent, au retour, le bonheur de me soumettre une dernière fois dans la clairière où ils m’avaient initialement donné rendez-vous, avant de me laisser ainsi dans la forêt, esclave comblé et reconnaissant à ses Maîtres…

Maître Bernard et Maîtresse Jacqueline m’ont congédié définitivement par la suite, préférant recruter une jeune esclave femelle à demeure, et, fort de cette expérience, je me suis dès lors mis en recherche d’un nouveau couple de Maîtres pour entrer à leur service et progresser en tant qu’esclave.

Après quelques mois de recherches et avoir répondu à des centaines d’annonces dans les revues spécialisées, j’eus enfin le bonheur d’être recruté par Maître Jacques et Maîtresse Marie-Claude, qui m’ont dressé pendant huit années lors de fréquentes visites chez eux avant de me prendre définitivement à demeure sous contrat d’esclavage.

Mais ceci est une autre histoire…

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